Recette
- 6 pommes
- 500 g de sucre en morceaux
- 2 c. à café de jus de citron
- 6 c. à soupe d'eau minérale
- 2 c. à café de jus de citron
- Quelques gouttes de colorant rouge
Préparation:
- Lavez et séchez soigneusement les pommes.
- Piquez-les sur des brochettes en bois, puis gardez-les de coté.
- Versez le sucre dans une casserole à fond épais, ajoutez l’eau minérale, le jus de citron et le colorant et placez sur feu doux.
- Faites cuire sans jamais mélanger jusqu’à formation d’un caramel ambré.
- Retirez du feu et ajoutez le jus de citron afin de stopper la cuisson du caramel.
- Plongez les pommes dans le caramel liquide.
- Laissez-les ensuite durcir dans un endroit sec.
Auteur de la vidéo: Marmiton
La légende des pommes d’amour
Il était une fois, à Marmande (Landes), la fille d'un riche bourgeois, jeune, belle et sage. Les prétendants ne cessaient de tourner autour d'elle mais Ferline Giraudeau (c'était son nom) n'en trouvait aucun à son goût, au désespoir de son père qui, veuf, voyait s'avancer son âge.
Et pourtant, un de ces jeunes gens, Peyrot Bory, de modeste naissance, mourait d'amour pour elle, mais n'osait le lui avouer, conscient d'être trop pauvre pour pouvoir y prétendre ; tant et si bien que, rempli de chagrin, il décida de quitter Marmande. Il arriva à Bordeaux juste au moment où un navire mettait les voiles pour "les isles". Pendant quatre ans, il bourlingua, visita les Antilles et la Nouvelle Grenade. Il travaillait dur et pourtant, il ne pouvait se défaire de l'image de Ferline.
Un beau jour, il prit le chemin du retour avec, dans ses bagages, un gros sac de cuir rempli de doublons d'Espagne et une pochette dans laquelle se trouvaient d'étranges graines plates et d'un gris foncé. Revenu à Marmande, il sema dans un coin ensoleillé du jardin paternel les fameuses graines et, au début de l'été, apparurent des grappes de magnifiques fruits rouges, ronds et lisses.
Chaque matin, il en cueillait quelques uns et les déposait dans une petite corbeille d'osier qu'il abandonnait sur le bord de la fenêtre de la belle. Au bout de quelques jours, elle le surprit au moment même où il renouvelait son offrande :
"Dis-moi, ami, lui dit-elle, comment s'appelle donc ce fruit délicieux que tu m'apportes chaque jour ?"
"Lorsque j'étais aux Amériques, les Indiens l'appelaient la "tomate", mais moi je l'appelle "Ferline" en souvenir de toi, tant elle était belle !"
"Eh bien, lui dit-elle en se jetant dans ses bras, à partir d'aujourd’hui, nous l'appellerons "la pomme d'amour".
L´histoire de la pomme d’amour
William W. Kolb a inventé la pomme confite rouge. Kolb, un ancien confiseur de Newark, a produit son premier lot de pommes confites en 1908. En expérimentant dans son magasin des bonbons rouges à la cannelle à l’époque de Noël, il a plongé quelques pommes dans le mélange et les a mis dans la vitrine. Il a vendu tout le premier lot à 5 cents chacun et plus tard, il en a vendu des milliers chaque année. Bientôt, les pommes d’amour étaient vendues le long de la côte du New Jersey, au cirque et dans les magasins de bonbons à travers le pays, selon les Nouvelles de Newark en 1948.
La pomme d’amour présente dans l’art:
Dans l’art, il y a: les films, les musiques, les tableaux et le théâtre.
Il existe un film «Pomme d’amour» de Jean Dreville, produit en 1932.
Il existe aussi des chansons : «Pomme d’amour» de Les Balbelettes; «Pomme d‘amour 2» de Aubry et René, et aussi un album «Pomme d’amour» de Geneviève Schneider.
Le seul tableau ayant pour titre «Pomme d’amour» est d’un peintre inconnu.
Pomme d’Amour est aussi le nom d’une compositrice, qui a pris ce nom d’artiste lorsqu’elle a commencé à chanter en avril 2012.
Webographie:
Webographie de la musique:
Webographie du tableau:
http://www.eytic.com/zen.art/catalog/product/tableau-de-peinture-pommes-d-amour/658
Webographie de la chanteuse:
Curiosité:
Webographie du thé: http://teatropolitan.wordpress.com/tea-collection/tea-collection3/attachment/39/
Auteurs: Carolina Barreto, Inês Araújo, Margarida Barros, Vasco Sobreiro
Auteurs: Carolina Barreto, Inês Araújo, Margarida Barros, Vasco Sobreiro
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